vendredi 29 avril 2016

Zaepert



Tout a été écrit dans le Luxemburger Wort du 19 avril 2016 sur la couverture et pages 12-13, concernant cette exposition collective.  J’aimerais juste y ajouter mes impressions et mes couleurs (les couleurs que j’ai remarquées), mes photos.
Everything concerning this collective painting exhibition was written in the Luxemburger Wort of April 19th 2016 on its cover plus on pages 12-13.  I would just like to add my impressions, the colours I noticed and my photos.
Théid Johanns, on reconnaît ses couleurs.  Le vert et un blanc crème.  On avait déjà vu cette utilisation de couleurs dans 2DaysArt :
We know Théid Johanns’choice of colours: green and cream colour.  We already saw this use of colours in 2DaysArt, see link above.



La nature, c’est son sujet de prédilection.  On est tous pareils : chacun essaie de protéger son petit lopin de terre : deux paires de bottes sous un parapluie chacun avec de l’herbe bien verte tout autour, comme sur une île.  En même temps, si on met un parapluie et si l’herbe ne reçoit pas de lumière naturelle, c’est miraculeux de faire pousser cette herbe.
Nature is his favourite topic.  We are all the same: we all try to protect our little plot of land: two pairs of boots underneath an umbrella each with nice green grass all around, like on an island.  But Heck: how do we manage to get green grass when the grass doesn’t get enough natural light, it is miraculous to have this grass growing.



Reiny Rizzi-Gruhlke, elle nous entraîne dans un monde d’enfants détruit.  Il y a des bonbons un peu partout.  Et des poupées ou bébés de cire.  Même un bébé éventré qui fait penser à un rôti sur une table.  On peut manger autant de bonbons qu’on veut.  Il faut juste avoir faim.  On a l’impression d’être dans un château hanté.  Avec la chaise aussi qui donne la chair de poule. 
Attention, nous venons de pénétrer dans un temple de fantômes de singes.
Avec Reiny, on est dans un monde où l’enfant, en particulier le bébé, sert d’objet.


Reiny Rizzi-Gruhlke leads us into a destroyed world of children.  There are sweets a bit everywhere.  And wax children or babies.  Even a ripped open baby who makes us think of a roast on a table.  We can eat as many sweets as we like but do we want to eat them?  The appetite is missing.  We have the impression of being in a haunted castle.     
Beware, we have entered a temple of ghost monkeys!
With Reiny, we are in a world where the child, in particular the baby is considered as an object.

Anne Lindner aussi est dans ce ton-là, avec son rouge couleur sang.  Les tétons d’où sortent du sang.  Ou des robinets en forme de pénis.  Le corps est malade.
 



Anne Lindner is also in this tone with her bloody red.  Blood comes out of tits.  Or out of taps in the shape of penisses.  Our body is ill.
Monique Becker aussi est dans des tons noirs.
Monique Becker is also in black tones. 
Ses tissus bien posés au centre de son installation font penser qu’ils sont soit sacrés soit souillés, comme ceux pendus tout autour.
Her bits of cloth put in the centre of her installation makes us think that those bits of cloth are either sacred or soiled, like those hung around.
 Monique Becker et son installation

Et on ne manque pas de voir l’installation de Marc Pierrard au milieu de la pièce.  J’adore son crâne de mort.  Si bien fait !
We can’t miss Marc Pierrard’s installation in the centre of the room.  I love his skull.  So well done!


 

Cette exposition collective fait réfléchir sur la vie et la mort et sur la nature aussi.  Vous pouvez encore admirer toutes ces œuvres exposées rue Joseph Kieffer le dimanche 1er mai, puis encore le vendredi 6 mai, le samedi 7 mai et le dimanche 8 mai.  C’est ouvert de 14.00 à 22.00.
This collective art exhibition makes us meditate about life, death and nature too.  You can still admire it all rue Joseph Kieffer on Sunday, May 1st, then on Friday May 6th, Saturday May 7th and Sunday May 8th.  It is open from 2pm to 10pm.

Nadine Kay